Quelques critiques parurent dans la presse de l'époque comme celle-ci résumant l'ouvrage:
Gustave
Le
Bozec.
L'Homme
et
ses
Dieux.
Roman.
Paris,
Figuière
Nous
sommes
en
1998,
l'âge
de
la
science,
des
autoplanes,
des
radiations
de
tous
genres.
Constantine
est
devenue
le
nombril
du
monde,
et
Tamanrasset,
avec
ses
palaces,
une
nouvelle
Héliopolis.
Mais
ce
roman
d'anticipation
nous
réserve
la
plus
déconcertante
des
surprises.
Se
précipitant
à
la
recherche
d'une
femme
trop
aimée
qu'une
panne
de
son
avion
a
précipitée
dans
les
gorges
du
Rummel,
le
fameux
savant
Éric
Lorvés
se
trouve
enfermé
avec
elle
dans
un
antre
souterrain,
où
ils
ont
la
stupeur
d'être
prisonniers
d'un
être
étrange.
Il
se
nomme
et
raconte
en
grec
sa
vie.
Nurma
est
vieux
de
vingt-cinq
siècles
ayant
capté
le
secret
des
mages
égyptiens,
il
est
immortel.
Sa
rencontre
ne
change
rien
à
la
situation
qui
est
sans
issue,
et
au
désespoir
du
savant
qui
sait
que,
dans
ce
trio,
il
est
de
trop;
qu'il
mourra
au
jour
que
choisira
la
fantaisie
de
l'immortel.
Par
bonheur,
l'appareil
de
son
invention
destiné
à
capter
les
bruits
souterrains
est
resté
en
batterie
dans
le
studio
de
Lorvés;
ses
amis
entendent
son
appel,
accourent
au
secours
et
à
l'aide
d'une
perforatrice
délivrent
les
prisonniers.
Mais,
pour
se
venger,
Nurma
a
ouvert
les
vannes
du
barrage,
et
les
eaux
déchaînées
entraînent
Mérope
Suarez.
L'immortel
s'y
précipite
à
son
tour
pour
échapper
à
la
justice
des
mortels.
Sur
ce
thème,
M.
Le
Bozec
a
brodé
un
récit
d'aventures,
qui
fait
songer
à
Jules
Verne,
sans
être
aussi
inoffensif.
In revue
Etudes, revue catholique d'intérêt général, Janvier 1931
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire